Jeunesse En Mission Montréal https://jemmontreal.ca Jeunesse en Mission (Montréal) est engagée à présenter un évangile holistique, c’est-à-dire, un évangile qui répond aux besoins de la personne à part entière. Thu, 22 Jun 2017 20:34:02 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.8.2 https://jemmontreal.ca/wp-content/uploads/2017/06/cropped-logoywam-32x32.png Jeunesse En Mission Montréal https://jemmontreal.ca 32 32 BIENVENUE https://jemmontreal.ca/bonjour-tout-le-monde/ https://jemmontreal.ca/bonjour-tout-le-monde/#respond Sat, 20 May 2017 16:03:15 +0000 https://jemmontreal.ca/?p=1 Jeunesse en Mission (Montréal) est engagée à présenter un évangile holistique, c’est-à-dire, un évangile qui répond aux besoins de la personne à part entière. En nous impliquant dans certains secteurs qui composent l’identité actuelle de la ville, nous cherchons à être une influence positive en servant notre prochain au travers des valeurs d’amour, de justice et de partage. Nous faisons ceci par des actions concertées favorisant la collaboration avec les communautés chrétiennes et des organismes sociaux déjà existants.

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Incarnation et kénose : un appel au dépouillement culturel https://jemmontreal.ca/incarnation-et-kenose-un-appel-au-depouillement-culturel/ https://jemmontreal.ca/incarnation-et-kenose-un-appel-au-depouillement-culturel/#respond Fri, 20 Jan 2017 15:01:51 +0000 https://jemmontreal.ca/?p=941 Le seul modèle donné par Jésus à ses disciples pour accomplir leur mission d’ambassadeurs de paix et de réconciliation est celui de l’incarnation. « Comme le Père m’a envoyé, ainsi je vous envoie dans le monde » (Jn 17, 18 — premièrement, un engagement en prière envers le Père; Jn 20, 21 — deuxièmement, le mandat donné aux disciples). L’incarnation est d’aller dans le monde tel qu’il est et d’assurer sa transformation selon la volonté de Dieu de l’intérieur. Le monde dans lequel Jésus est venu était politique et militaire. Il est né à Bethléem parce que César Auguste a appelé à un recensement des populations du monde. Il a ensuite dû fuir en Égypte quand sa vie a été menacée par Hérode. Le monde était aussi culturel. Jésus a participé à un mariage au cours duquel il a contribué à la fois à la qualité et à la quantité du vin afin de rehausser la célébration. Le monde s’intéressait aussi à l’économie qui, à l’époque, était principalement basée sur l’agriculture et la pêche. Jésus en parlait souvent dans ses paraboles et dans ses enseignements. Nous savons que la mission de l’Église concerne toutes ces sphères, y compris l’éducation, les arts et les médias, les soins de santé et plus, et pas uniquement la sphère de la religion, qui est la sphère souvent contournée par Jésus. C’est en venant dans l’espace et dans le temps du monde que Jésus a transformé et réorienté son histoire future en vue du Royaume de Dieu encore à venir.

Les quatre temps et mouvements (T & M) de l’Incarnation

L’incarnation est la nature et les moyens de la mission et son message est clair : la transformation est toujours réalisée de l’intérieur. Nous limitons souvent l’incarnation à l’histoire de Noël où « le Verbe s’est fait chair et a habité parmi nous ». Je propose qu’il y ait en fait quatre étapes de l’incarnation. Les temps sont ceux dans lesquels Jésus agissait et parlait. Les mouvements sont le suivi réel de ces temps jusqu’à nos jours actuels.

Premier T & M – Dieu est devenu un homme quand il est né un bébé à Bethléem. Jésus s’est d’abord identifié avec l’homme innocent du Jardin d’Eden et est ainsi devenu le « dernier Adam » (1 Cor. 15,45). Le premier Adam a péché et, par le fait même, il est « privé de la gloire de Dieu ». Dieu a alors pris sur lui-même notre identité humaine et est devenu « l’image de Dieu » à notre place (Col. 1,15). Jésus nous a non seulement révélé le Père, mais aussi notre véritable identité humaine en tant que porteurs de l’image de Dieu. Dieu, qui nous a créés à son image, a pris sur lui-même notre image créée dans un véritable renversement de rôles qui n’a pas compromis sa propre divinité parce que nous étions, au commencement, créés à son image.

Deuxième T & M – Jésus s’est identifié avec l’homme pécheur quand Ponce Pilate l’a déclaré « ecce homo », « voici l’homme » (Jn 19, 5). C’est le moment où Jésus est devenu « péché pour nous » (2Cor. 5,21). Dans le verset précédent, Pilate reconnaissait toujours son innocence. Alors, quel homme Jésus est-il, à ce moment, devenu? Il est devenu l’homme qui, à cause du péché, ne peut plus vivre, mais doit mourir (Gn 2,17; Rm 6,23). De façon très graphique, la couronne d’épines représente la perversion des aspirations humaines grandioses de devenir égal à Dieu (Gn 3,5) et la robe pourpre, la prétention arrogante que nous pouvons encore gouverner le monde tout en niant que la robe elle-même est insuffisante pour couvrir notre nudité ensanglantée (Gn 3,7). Mais celui qui se lèvera sera abaissé et humilié. Jésus est mort à notre place.

Troisième T & M – Jésus s’est identifié pleinement avec notre humanité, innocente et pécheresse, en entrant dans l’histoire humaine. Mais une telle identification avec l’homme (c’est la nature de l’incarnation) était encore pour Jésus insuffisante. Il cherchait une transformation encore plus profonde, afin que nous soyons restaurés à son image (2Cor 3,18; 1Jn 3,2), et que nous revenions ainsi à notre véritable identité initiale et humaine (Gn 1,26-27). Pour accomplir cela, non seulement a-t-il voulu marcher au milieu de nous, mais, encore plus, vivre réellement dans nos cœurs par son Esprit (Jn 14,16-17). « Demeurez en moi et je demeurerai en vous » (Jn 15,4), le lieu de la communion et de l’union avec Dieu. Encore une fois, Dieu nous transforme de l’intérieur. Les trois premiers T & M sont célébrés lors de nos trois fêtes chrétiennes majeures que sont Noël, Pâques et la Pentecôte.

Le quatrième T & M nous concerne aujourd’hui. Quatrième T & M – Ce n’est que lorsque ses disciples ont reçu son Esprit que Jésus les a envoyés dans le monde comme ambassadeurs et témoins de son règne. La Création tout entière anticipe ardemment « la révélation des fils de Dieu » (Rm 8,19), ses hommes et ses femmes réconciliées avec Dieu et transformées à l’image du Christ, prêts à finalement accomplir le plan initial de Dieu, prédit en Gn 1,28, à gouverner la terre où doit venir son royaume (Mt 6,10). Jésus n’est pas venu au monde pour inaugurer un plan B pour nous sauver de la Création déchue, mais pour réconcilier « tout ce qui est dans les cieux et sur la terre » (Eph 1,10). Jésus n’a jamais cédé le monde à Satan (Mt 13,24-30). Nous sommes dans le monde, « le champ » de la parabole, légitimement parce que c’est là que Dieu nous a envoyés. Nous sommes appelés à entrer au cœur du monde à tous les niveaux et dans toutes les sphères pour vivre le Royaume présent et à venir.

La kénose – le premier principe de l’incarnation

Les principes de l’incarnation illustrés par Jésus comprennent l’amour du prochain, de l’étranger et de l’ennemi. Ils établissent aussi que la grâce est le renforcement et l’approfondissement des relations de confiance dans lesquelles la vérité peut être partagée. Dans Jean 1,14-17, le mot, grâce, apparaît quatre fois et le mot, vérité, deux fois seulement et toujours précédée par la « grâce ». Nous sommes également envoyés pour servir nos semblables tout comme Jésus est venu pour servir (Mt 20,28). Je veux cependant me concentrer sur ce que je considère comme le premier principe de l’incarnation et que nous trouvons dans Ph 2,5-8. Pour entrer dans le monde, Jésus devait quitter son lieu d’appartenance, celui avec lequel il était le plus familier et là où il partageait la gloire du Père. Dans Jean 17,5, Jésus prie, « donne-moi la gloire que j’avais déjà auprès de toi avant la fondation du monde. » Pour devenir un homme, Jésus a laissé derrière lui sa gloire et pendant trente ans, personne à Nazareth ne savait que Dieu vivait au coin de la rue chez le charpentier. La discrétion serait un autre principe de l’incarnation, mais nous nous concentrons ici sur le dépouillement de Jésus dans Ph 2,7. Le mot grec, kénose, n’est trouvé que cette seule fois dans l’Écriture. Que signifie-t-il pour nous qu’il a envoyé dans le monde comme ses témoins?

Comme Jésus, ceux d’entre nous appelés à servir en tant que missionnaires sont aussi appelés à laisser derrière nous nos propres cultures et traditions religieuses et sociales afin de nous identifier avec le groupe ou peuple auquel nous sommes envoyés. Nous sommes appelés à apprendre leur langue et leur culture, lire leurs auteurs, regarder leurs films, écouter leur musique et manger leur nourriture au point qu’ils deviennent une partie de nous. Ce sont les références religieuses et culturelles par lesquelles ils interprètent la vie et que nous devons non seulement découvrir, mais aussi nous y référer afin d’introduire progressivement celui qui est la vie, Jésus, le Christ, d’une manière appropriée et significative pour leur propre culture. L’inculturation est la version catholique de la contextualisation protestante, mais avec la notion ajoutée de « in » — culturation, « dans » la culture. Elle nous permet de nous familiariser avec la culture propre des gens chez lesquelles nous sommes envoyés afin d’y semer la parole.

Il est bien connu qu’une grande partie du travail missionnaire accompli à travers les âges a été fait dans un esprit de colonialisme, souvent main dans la main avec les pouvoirs politiques et économiques européens de leur époque. Le travail missionnaire et l’implantation d’églises en particulier ont été réalisés avec l’idée d’apporter la culture européenne (leur propre gloire avec laquelle ils étaient les plus familiers) aux peuples païens d’autres cultures dans le monde. Les missionnaires ont cherché à reproduire leurs propres cultures et traditions religieuses dans le monde entier. Ils le font encore. La kénose a été et est souvent absente de ces efforts. Dans le colonialisme, l’Église ne s’est jamais suffisamment éloignée de sa propre culture pour s’incarner pleinement, s’inculturer et ainsi intégrer l’Évangile dans les normes culturelles locales.

Le défi de la kénose, l’incarnation, existe toujours aujourd’hui pour le mouvement évangélique, y compris JEM. La mondialisation et l’internet rendent la kénose, l’éloignement de nos propres cultures, beaucoup plus difficile aujourd’hui. Il y a un coût associé à la kénose. Nous utilisons trop facilement le langage de la vie sur les marges (life on the edge) sans vraiment payer le prix. Pendant des années, j’ai demandé aux équipes universitaires du Réseau mondial jeunesse (RMJ) que nous envoyions de Montréal pour aller en Afrique ou en Amérique latine de laisser autant que possible leur culture à la maison, y compris leurs iPod, afin d’avoir les oreilles libres pour entendre les sons, le silence et la musique locale. Je les ai également encouragés à garder leurs appareils photo et autres choses discrètes parce que souvent, ce qu’ils portaient sur le dos et portaient dans leurs sacs était de plus grandes valeurs que ce que les populations locales ne pourraient jamais espérer obtenir dans leur vie. Le plus que nous apportons de nous-mêmes, le moins sommes nous en mesure d’apprendre localement. La kénose, le dépouillement, reste un principe essentiel pour être comme Jésus dans le monde ». (Jn 4,17)

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Pierre LeBel, janvier 2017

Publié en anglais sur http://www.ywamorganic.org Incarnation and Kenosis : A Call to Cultural Self-Emptying

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L’incarnation comme modèle pour la mission https://jemmontreal.ca/umbrella-rides-the-wind/ https://jemmontreal.ca/umbrella-rides-the-wind/#respond Sat, 15 Sep 2012 13:16:31 +0000 http://elegantthemes.com/preview/DeepFocus/?p=220 Nous venons de célébrer Noël. La grande nouvelle est que Dieu est devenu homme et il est venu habiter le centre-ville de Nazareth avec l’intention d’y rester pour quelques temps. Il a mis en marche ce qui deviendrait le modèle essentiel de la mission de son peuple. « Comme le Père m’a envoyé, ainsi je vous envoie dans le monde. » (Jean 17.18, 20.21)

L’incarnation est le cœur et la nature mêmes de la mission et elle ne peut être autre chose. Nous sommes appelés à aller dans le monde parce que c’est le monde que Dieu aime tant, le monde qui doit être rétabli, le monde dans lequel le Royaume doit venir. La particularité de l’incarnation est qu’elle nous enseigne que les choses sont changées et transformées depuis l’intérieur. Dieu est venu dans le monde en la personne de Jésus et il est venu dans nos propres vies par l’Esprit. Dieu nous habite ainsi que le monde et le changement se produit selon l’espace que nous lui permettons de remplir.

L’Église (et JEM aussi) a souvent limité la directive de Jésus, « allez dans monde », à son sens géographique (Judée, Jérusalem, les extrémités de la terre). Mais le monde dans lequel Jésus est venu était aussi politique, militaire, culturel, économique (pêche, agriculture, viticulture pour produire de bons vins, etc…). La dimension religieuse de la culture est celle dont il gardait une distance. Il est venu comme un vrai homme pour habiter dans un vrai monde. Mais l’Église est allée dans le monde en y apportant sa propre culture et en demandant aux gens de s’y joindre. Elle a participé à une forme de colonisation religieuse qu’elle soit catholique, protestante ou évangélique. Au lieu d’aller dans le monde par le moyen de l’incarnation, nous avons préféré nos propres cultures religieuses.

Nous avons demandé aux gens de sortir du monde bien que Jésus nous demande le contraire :
«Venez dans nos programmes, venez dans nos communautés chrétiennes, sortez du monde car il est déchu ». Mais Jésus est venu dans notre monde brisé et dans nos vies tout aussi brisées parce que c’est depuis l’intérieur qu’il commence à reconstruire au milieu de nos ruines.

À quoi donc le monde ressemble-t-il quand nous voyons tant de cultures, de peuples et de nations? Comment puis-je les aimer tous ? Réponse : en aimant l’individu, le particulier. Jésus est venu dans le monde en ne se limitant qu’à une seule famille, un seul village, un seul peuple, une seule langue, une seule culture et un seul pays. En ciblant le particulier avec toutes les contraintes que représente le fait d’être enraciné, il a vécu et il est mort d’une façon qui a transformé le monde entier. Parfois, notre relation avec le monde demeure superficielle à cause d’un nombre incalculable de voyages que nous faisons. Posons-nous donc les questions suivantes : « À quel point sommes-nous engagés dans notre localité ? Nos programmes de formation enseignent-ils à nos étudiants la manière de s’enraciner là où le Seigneur les a placés et ce que vivre l’incarnation signifie ou sont-ils plutôt superficiels parce que nous ne faisons que passer sans rester assez longtemps pour apporter des changements significatifs ? » Mais le message de Jésus demeure : « Comme le Père m’a envoyé ainsi je vous envoie dans le monde. »

Pierre LeBel

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1. Ministères 1986 – 2011 https://jemmontreal.ca/1-ministries/ https://jemmontreal.ca/1-ministries/#respond Tue, 21 Jun 2011 00:23:13 +0000 https://jemmontreal.ca/?p=1028 En 2011, JEM Montréal a célébré 25 années de ministères. Les pages suivantes vous donnent un survol de ces 25 années en jetant un regard sur les ministères et équipiers qui y ont participé.

Le point de repère, Programmes d’été, Marche pour Jésus, Les Fabricants de Joie et les Camps NIKO, TranscendArts, Réseau Mondial Jeunesse, EFD Culture Urbaine.

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2. Équipiers 1986 – 2011 https://jemmontreal.ca/staff-1/ https://jemmontreal.ca/staff-1/#respond Mon, 20 Jun 2011 23:45:43 +0000 https://jemmontreal.ca/?p=1014 Your browser does not seem to support iframes. Click here to read this PDF. ]]> https://jemmontreal.ca/staff-1/feed/ 0 Les disciplines spirituelles https://jemmontreal.ca/hello-world-2/ https://jemmontreal.ca/hello-world-2/#respond Thu, 04 Sep 2008 06:04:48 +0000 http://www.elegantwordpressthemes.com/preview/Influx/?p=1 Inspirés par la Renovare Spiritual Formation Bible et adaptés par Jeff Pratt

La confession : Partager avec Dieu et avec ceux en qui nous avons confiance nos plus grandes faiblesses et nos échecs afin que nous entrions dans la grâce et la miséricorde de Dieu et expérimentons son pardon et sa guérison.
Lév. 5,5 ; Esdras 10,1 ; Ps. 32,5 ; Prov 28,13 ; Mat 3,6 ; Jacques 5,16 ; 1 Jean 4 :15

Le jeûne : L’abstention volontaire d’une fonction tout à fait normale – souvent la nourriture – dans le but d’une activité spirituelle intense.
Deut. 8,3 ; 2 Chron 20,3 ; Dan 9,3 ; Joël 2,12-13 ; Mat 4,2

La communion fraternelle : S’engager avec d’autres disciples dans des activités communes d’adoration, d’étude, de prière, de célébration et de service qui soutiennent notre vie ensemble et élargient notre capacité d’expérimenter Dieu encore plus.
Ps 133,1-3 ; Mat 18,20 ; Actes 2,42 ; Rom 12 :4-17 ; Heb 10,23 -25

La méditation : La contemplation, dans un esprit de prière de Dieu, de sa Parole, et de son monde.
Gen 24,63 ; Josué 1,8 ; Ps 1,2 ; 77,6,12 ; Phil 4,8 ; Col 3,2

La prière : Une conversation interactive avec Dieu concernant ce que Dieu et nous pensons et faisons ensemble.
1 Chr 17,16-27 ; 2 Chr 33,13 ; Ps 32,6 ; Mat 14,23 ; Marc 14,32-39

Le service : La promotion active, aimante, et considérée du bien des autres et des causes de Dieu dans le monde à travers lesquelles nous expérimentons les nombreuses petites morts lorsque nous nous dépassons.
1 Sam 2,11-26 ; Ps 113,1 ; Prov 3,27-28 ; Jer 29,7 ; Luc 22,26-27 ; Eph 3,7

Le silence : Fermer nos âmes aux « sons », qu’il s’agisse de bruits, de musique ou de paroles, et ainsi tranquiliser nos coeurs bruyants et devenir davantage attentif à Dieu.
Ps 62,1 & 5 ; Ésaïe 30,15 ; Lam 3,26 ; Jacques 1,19

La solitude : La création d’un espace ouvert et vide dans nos vies en nous abstenant volontairement des interactions avec d’autres gens afin que, libéré de toutes compétitions, nous pouvons nous retrouver en Dieu.
Ps 62,5 ; Mat 14,23 ; Marc 1,35 ; Luc 5,16 ; 6,12 ; 9,18

L’étude : Le processus intentionnel par lequel nous engageons notre esprit à la Parole écrite et parlée de Dieu et le monde qu’Il a créé d’une telle façon que notre intelligence prend la forme et l’ordre de ce sur quoi elle s’est concentrée.
Josué 1,8 ; Esdras 7,10 ; Ps 1,1-6 ; Ps 111,2 ; 2 Tim 2,15

L’adoration : L’expression en parole, en musique, par des rituels et par le silence la grandeur, la beauté et la bonté de Dieu, et par laquelle nous entrons dans la réalité surnaturelle de la shekinah ou la gloire, de Dieu.
Gen 24,48 ; Josué 5,14 ; Ps 99,5 ; Luc 2,37 ; Rom 12,1 ; Apoc 7,15

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